Le secteur de l’immobilier serait-il dans une mauvaise passe ? Les récents scandales ont-ils mis à mal le secteur ? Pas vraiment, avancent certains observateurs. Le repli que connaît le secteur n’est pas nouveau. On est loin de l’engouement de 2008, la bulle immobilière a éclaté…Après l’avènement de la crise internationale, les projets de luxe ont connu une décélération, du fait de la forte chute immobilière.

Le ministère de l’Habitat de la Politique de la Ville avait signé deux protocoles d’accord avec Général Contractor et Al Hidaya, respectivement le 25 novembre 2005 et le 17 mars 2006, et ce dans le cadre du partenariat public privé avec Al Omrane Tamesna. Mais depuis, les choses ne se sont pas passées comme prévu.

La rareté du foncier est une problématique majeure à laquelle, est confronté, le secteur de l’immobilier.

Gérer nos villes en surface est devenu difficile, surtout dans les grandes métropoles. Il faut dépasser les problèmes réglementaires et juridiques et ouvrir des perspectives pour avoir de nouvelles options comme l’ouverture du foncier public (casernes militaires, convertir des zones industrielles en zone d’habitat, construire en hauteur).

Il faut tenir compte du fait qu’il y a un marché animé essentiellement par le logement social.